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H saison 2

A la fin de la saison 1, un homme et une femme avaient échappé au rasage général. Ils se sont cachés et ont essayés, comme le lecteur, de comprendre ce qui se tramait. Cet homme et cette femme étaient Ada et Brecht. Rejoints par Alex, un as du ukulélé un peu candide et très curieux, ils ont perturbé le plan des Alberts. En effet, par le plus grand des hasards, Ada et Brecht ont lancés une fusée spatiale dans laquelle Alex venait de pénétrer. Oups.


Avec cette fusée décolle la deuxième saison de H. Le récit va prendre une toute autre direction. Ludique, narrative et hebdomadaire. En septembre 2014 a commencé une nouvelle aventure des Alberts.


En accord avec les Halles, la saison 2 s’éloigne du concept du journal pour développer un feuilleton de fiction qui « habite » les Halles. Le décor principal est le bâtiment, on y croise des personnages et des événements fictionnels et existants. Dans un soucis de lecture continue, la fréquence devient hebdomadaire. Deux planches paraissent en ligne chaque jeudi.


Comme pour la saison 1, trois dessinateurs se partagent le travail. Les styles graphiques, volontairement plus proches que ceux de la saison 1, rendent la lecture plus confortable.


Voici les grandes lignes de la saison 2 :

Les Alberts continuent leur expansion et leur objectif politique. Au début de la saison, chaque dessinateur s’approprie un univers :
- Celui des Alberts conduits par leur chef, Monsieur H. Leur objectif est d’une ambition inquiétante.
- Celui de Ada et Brecht, qui tentent de percer le mystère des Alberts et de les empêcher de nuire.
- Celui de Alex, personnage candide, enfermé par inadvertance dans une fusée en route pour Mars. Bien sûr, ces univers sont amenés à se croiser.


L’objectif de Monsieur H et des Alberts est d’installer un passage aisé, via des portes, entre le quartier autour des Halles de Schaerbeek et la planète Mars.


Le récit est enlevé, plein de rebondissement et de « page turner ». Nous explorons les thèmes de la différence et de la paranoïa, mais avec légèreté.